Vignoble de 15 hectares dont 3 hectares pour le Domaine La Tuque Bel Air.
Situé sur le plateau argilo-calcaire de l'appellation Castillon Côtes de Bordeaux.
Encépagement: Merlot, Cabernet Sauvignon et Cabernet Franc
Âge moyen des vignes : 26 ans. Vinification en cuves béton revêtu, puis élevage de 14 mois en barriques neuves à 20%.
Château Petit Fombrauge est le porte étendard de Pierre Lavau ; ce qu’il fait de mieux et sous une appellation prestigieuse : Saint-Emilion Grand Cru. Travailler sur 2.5 hectares en vendanges manuelles et table de tri, la vinification est en cuve béton pour une meilleur micro-oxygénation donnant des vins plus aromatiques. L’élevage en barrique à 40 neuf habille le vin mais toujours avec élégance.
Les vins du domaine
La propriété est familiale depuis plusieurs générations. Le
grand-père Gabriel Lavau était tonnelier ambulant (tonnelier itinérant) à
Saint-Émilion, réparateur de barriques.
Appellations : Saint-Emilion Grand Cru pour la cuvée
principale, avec des vignobles dans Castillon-Côtes de Bordeaux, et une petite
parcelle de vins blancs.
Superficie actuelle exploitée : environ 5 hectares en
Saint-Emilion Grand Cru, 9 hectares en Castillon-Côtes de Bordeaux, plus 0,85
hectare de blancs.
Le père, Jean-André Gabriel Lavau, hérite du vignoble en
1950, y compris la partie Castillon par la famille maternelle.
Pierre Lavau (fils) intègre l’exploitation en 1986, après
des études viticoles et œnologiques. En 1996, il acquiert aux enchères le
Château Petit Fombrauge (2,5 ha) pour développer la marque « Petit Fombrauge ».
En 2001, suite à des partages familiaux, la structure est
clarifiée : les superficies citées ci-dessus (Saint-Émilion, Castillon, blancs)
s’organisent autour de Pierre Lavau.
Type de sol : sols argilo-limeux.
Encépagement principal : ~ 90 % Merlot, ~ 10 % Cabernet
Franc dans les rouges.
Vignes de Saint-Emilion Grand Cru : âge moyen d’environ 45
ans.
Le domaine pratique une culture raisonnée, visant à réduire
les doses de produits phytosanitaires.
Pour nourrir le sol naturellement, on sème entre les rangs
des céréales (comme avoine) et de la vesce, puis on les enfouit pour restituer
de l'azote. Retour progressif au travail du sol pour éliminer les désherbants.
Attachement au terroir, à la tradition familiale.
Respect de l’environnement, réduction des intrants, travail
du sol, viticulture plus naturelle.